Essai Xiaomi YU7 – 250 km en location Energy Car
Découverte et essai
Pendant un trajet de 250 km, la Xiaomi YU7 a démontré un confort haut de gamme, une technologie avancée et une autonomie CLTC jusqu’à 835 km. Energy Car propose ce modèle en location à Tunis pour tester ses performances.
Motorisation, batterie et recharge
Trois versions disponibles : mono ou double moteur (jusqu’à 508 kW), batterie LFP 96,3 kWh ou NMC 101,7 kWh, recharge en 12 min pour 10–80 %.
Intérieur et équipement
Large pavé numérique sous pare‑brise, sièges en cuir Nappa, écran passagers, massage 10 points, toit ouvrant de 1,7 m², matériaux premium et finition OEKO‑TEX.
Location Energy Car
Avec la YU7, Energy Car offre une façon unique de comparer les SUV électriques haut de gamme et ludiques à un prix attractif, sans engagement.
Volvo EX60 – SUV électrique disponible via Energy Car
Présentation
Le Volvo EX60 est un SUV 100 % électrique destiné à succéder au XC60, avec un lancement prévu début 2026. Il sera proposé à la location chez Energy Car, idéal pour tester avant achat.
Plateforme et technologie
Basé sur la plateforme SPA3, il adopte une batterie structurelle de 90–100 kWh intégrée à un châssis en méga-casting, garantissant rigidité, légereté et plus de 600 km d’autonomie.
Design et intérieur
Adoptant l’esthétique Volvo moderne (phares « Thor’s Hammer » et feux arrière bandeaux), l’intérieur se veut minimaliste et high-tech avec Android Auto & OTA via écran Google.
Location Energy Car
Energy Car proposera des tarifs attractifs à Tunis, avec assurance incluse, kilométrage modulable et assistance 24/7. Parfait pour découvrir l’EX60 avant achat.
MG contre Toyota
Le duel semblait déséquilibré il y a encore quelques années : d’un côté Toyota, mastodonte japonais réputé pour ses motorisations hybrides, sa fiabilité et sa longévité. De l’autre, MG, marque britannique passée sous pavillon chinois, relancée avec l’ambition de bousculer les références historiques. En 2025, le combat est bel et bien engagé — et MG marque des points.
Prenons l’exemple du MG EHS, un SUV hybride rechargeable au gabarit comparable au Toyota RAV4. Ce modèle affiche une consommation mixte plus basse (autour de 4,8 L/100 km), grâce à une meilleure gestion électrique sur les trajets urbains et à une batterie légèrement plus généreuse. En ville, l’autonomie en mode électrique dépasse souvent les 60 km réels, un seuil que Toyota peine à franchir avec son RAV4 PHEV.
Là où MG frappe fort, c’est sur le rapport prix/équipement :
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sièges chauffants et ventilés,
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système infotainment moderne,
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nombreuses aides à la conduite de série,
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et un design extérieur valorisant.
Toyota conserve des atouts solides : une réputation de fiabilité mécanique inégalée, un réseau après-vente dense, et une valeur de revente élevée. Mais MG gagne du terrain chaque mois, soutenue par une stratégie commerciale agressive, des garanties longues (jusqu’à 7 ans), et une image rafraîchie qui séduit les familles européennes à la recherche de sobriété économique.
La question n’est donc plus « MG peut-elle rivaliser avec Toyota ? », mais plutôt : combien de temps Toyota pourra-t-elle ignorer la menace ?
Toyota RAV4 Coupé
Toyota, longtemps réputé pour sa prudence stylistique, finit par céder à la tendance des SUV coupés, en lançant une déclinaison du RAV4 au profil dynamique, pensée pour séduire un public plus jeune et sensible au design.
Le RAV4 Coupé 2025 conserve la base technique du RAV4 classique : un groupe motopropulseur hybride auto-rechargeable éprouvé, mais rehaussé pour l’occasion par un design plus élancé, une ligne de toit fuyante et un arrière plus sportif. Toyota cherche clairement à séduire la clientèle des Renault Arkana, Peugeot 408 et MG EHS, sans renier sa fiabilité légendaire.
Sur la route, ce nouveau RAV4 promet un compromis convaincant entre consommation maîtrisée (environ 5,0 L/100 km), performances correctes, et polyvalence familiale. L’espace à bord reste généreux malgré la chute du pavillon arrière, preuve que le style ne sacrifie pas le fond.
Mais Toyota doit faire face à un concurrent de plus en plus pressant : MG. La marque chinoise, désormais bien implantée en Europe, propose des SUV hybrides aussi grands que le RAV4 mais plus économiques, à l’achat comme à l’usage. Le MG EHS, par exemple, rivalise sérieusement avec Toyota en termes d’équipements, tout en affichant des consommations réelles souvent inférieures.
La guerre est donc lancée : entre une Toyota rassurante, bien finie, mais plus chère, et une MG ambitieuse, disruptive, mais encore jeune sur le plan image, le client aura l’embarras du choix.
Le RAV4 Coupé pourrait toutefois marquer un tournant : celui d’une Toyota plus audacieuse, prête à sortir de sa zone de confort esthétique sans renoncer à son efficacité.
Renault Scenic E-Tech : le renouveau électrique du monospace
Analyse approfondie :
Nouveau visage, même mission :
Le Scenic E-Tech n’est plus un monospace mais un SUV familial électrique, repensé pour une époque où l’efficience, la modularité et le design priment. Un pari audacieux pour ressusciter un nom emblématique, tout en faisant oublier les anciens volumes à papa.
Batterie et autonomie :
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Deux versions : 60 kWh (430 km) et 87 kWh (jusqu’à 620 km WLTP).
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Recharge rapide DC jusqu’à 150 kW.
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Pompe à chaleur de série pour optimiser l’autonomie en hiver.
À bord :
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Grand écran central vertical OpenR Link avec Google intégré.
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Habitabilité record dans la catégorie : banquette arrière généreuse, coffre de 545 litres.
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Présence d’un Solarbay : toit en verre opacifiant électriquement.
Objectif : contrer le Tesla Model Y, l’ID.4, le Peugeot e-3008 ou le Skoda Enyaq avec un véhicule efficient, stylé et familial. Le Scenic devient l’ambassadeur du savoir-faire électrique français.
Toyota cède : le RAV4 Coupé arrive
Analyse approfondie :
Contexte & stratégie :
Après des années de prudence stylistique, Toyota suit la tendance premium en introduisant un RAV4 Coupé, à mi-chemin entre SUV familial et crossover dynamique. Une première offensive contre les BMW X4, Audi Q5 Sportback ou Renault Rafale.
Style et silhouette :
Le RAV4 Coupé se distingue par :
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Un pavillon fuyant, digne d’un coupé.
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Une calandre redessinée, plus agressive.
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Des jantes de grand diamètre, accentuant le dynamisme.
Toyota prend ici des codes jusqu’ici réservés aux marques premium pour les démocratiser dans un produit de grande diffusion.
⚙️ Motorisations attendues :
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Hybride auto-rechargeable (HEV) : autour de 220 ch.
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Hybride rechargeable (PHEV) : environ 300 ch, technologie partagée avec le RAV4 Prime.
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Une version 100 % électrique n’est pas exclue à moyen terme, avec la plateforme e-TNGA.
Positionnement :
Toyota vise ici une clientèle jeune, urbaine, premium, sensible au style mais aussi à la réputation de fiabilité.
Tesla Model Y Performance 2025 : déjà sur la route, sans camouflage
Angle éditorial
Exclusivité visuelle : Tesla met déjà en test la version 2025 de son SUV sportif, sans dissimulation.
Contenu à développer
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Modifications de design visibles ? Nouvelles jantes ? Boucliers ? Hauteur ?
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Changements techniques : Hardware 4.0, meilleure gestion thermique, suspension active ?
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Amélioration autonomie ? Probable passage à 4680 en série.
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Camouflage inexistant : stratégie de transparence ou provocation calculée ?
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Comparaison vs. version actuelle (2024)
Enjeux
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Préserver la domination de Tesla sur le segment des SUV compacts sportifs.
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Continuer à innover tout en capitalisant sur le succès du Y.
️ Ton recommandé
Informé, passionné, orienté fans de Tesla mais avec esprit critique.
Une Dacia survoltée & la DS n°8 qui tente sa chance : deux styles, deux ambitions
Angle éditorial
Comparer deux visions françaises du SUV électrique : pragmatisme Dacia vs. ambition premium de DS.
Contenu à développer
Côté Dacia :
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Prolongement de la Spring ou modèle inédit ?
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Nouvelle plateforme ?
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Prix attendu sous 25 000 € pour contrer la MG4.
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Style plus affirmé : LED, barres de toit, lignes robustes.
Côté DS Automobiles :
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DS n°8 : équivalent électrique du DS7 ?
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Ciblage premium à la française : finitions haut de gamme, confort.
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Technos embarquées : IA, écrans courbes, conduite autonome niveau 2 ?
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Batterie longue autonomie (jusqu’à 600 km ?) avec recharge ultra rapide.
Enjeux
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Dacia veut démocratiser l’électrique, sans perdre sa philosophie low-cost.
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DS veut imposer le luxe français dans le haut de gamme électrique, là où les Allemands et les Coréens dominent.
️ Ton recommandé
Comparatif, orienté grand public, clair et contrasté.
L’offensive électrique de BYD bouscule les codes
Loin des clichés d’antan, BYD s’impose aujourd’hui comme un acteur majeur de la transition électrique. Fondé en 1995 et longtemps discret en Europe, le constructeur chinois affiche désormais des ambitions mondiales avec une gamme variée, technologique et compétitive.
Son point fort ? L’intégration verticale. BYD fabrique ses propres batteries Blade, réputées plus sûres, plus durables et moins coûteuses que celles de la concurrence. À cela s’ajoute une plateforme maison, l’e-Platform 3.0, conçue pour optimiser la consommation, la modularité et les performances.
Les modèles se multiplient : Han pour le premium, Atto 3 pour le SUV urbain, Dolphin pour le compact. Tous partagent un ADN clair : efficacité, connectivité, et rapport qualité/prix redoutable. Les résultats ne se font pas attendre : BYD talonne désormais Tesla en volume mondial.
Ce dynamisme illustre le basculement global de l’industrie, où la Chine ne suit plus, elle mène la danse.
Essai BYD Han 2025 : la Chine muscle son jeu premium
Avec la Han 2025, le géant chinois BYD entend frapper un grand coup sur le segment des berlines premium. Plus qu’un simple concurrent asiatique, la Han veut s’imposer face à des références telles que la Tesla Model S, la BMW i5 ou la Mercedes EQE.
Au premier regard, le design impressionne. Silhouette élancée, signature lumineuse travaillée, proportions équilibrées : cette berline est tout sauf un produit bas de gamme. L’habitacle rivalise avec les standards européens grâce à un niveau de finition soigné, un grand écran central rotatif et un confort acoustique abouti.
Côté performances, la Han 2025 affiche une autonomie supérieure à 600 km WLTP, une accélération sous les 4 secondes pour le 0 à 100, et une gestion intelligente de l’énergie via une nouvelle plateforme e-Platform 3.0.
Ce modèle confirme que la Chine n’imite plus, elle innove et défie. Reste à convaincre les conducteurs européens de franchir le pas.